Alors que le nombre de nouveaux cas de cancer du sein a presque doublé entre 1990 et 2018, mais que sa progression est de plus en plus faible... le taux de survie progresse. En cause ? Un investissement de plus en plus grand dans la santé des femmes, des dépistages plus nombreux et l'arrivée de traitements innovants.
"Après avoir subi les traitements, elles redeviennent celles qui décident. Avant, on effaçait. Aujourd'hui, ces femmes veulent garder une trace. Accepter sa cicatrice représente un acte de résilience. D'ailleurs, elles se passent souvent de prothèse externe. Elles osent le buste plat, elles en sont même fières".
C'est au coeur du message que souhaite faire passer Octobre Rose chaque année : nous pouvons agir au quotidien pour augmenter nos chances d'éviter un cancer du sein.
Le premier Institut des cancers des femmes voit le jour. L'objectif ? Faire progresser la recherche et améliorer le suivi des malades. Trois femmes médecins témoignent de leur action.
Inventrice de la poupée Barbie et fondatrice de la société Mattel, Ruth Handler a bien d’autres cordes à son arc. Dans les années 1970, elle est aussi venue en aide aux survivantes du cancer du sein en créant ses propres prothèses mammaires.
Compliqué à soigner, c’est le sous-type de cancer du sein le plus redouté par les oncologues. Diagnostic, évolution, nouveaux traitements… Lumière sur un cancer très particulier qui concentre les recherches.
Selon une étude menée sur 26 000 femmes, la modification de l’activité d’un gène pourrait réduire le risque de développer un cancer du sein. La présence de variants de ce gène serait, à l’inverse, responsable d’une augmentation de ce risque.
Du 4 au 28 octobre, le Camion d’Octobre Rose, unité mobile de dépistage du cancer du sein ouvert à toutes, sillonnera les routes d'Île-de-France. Nous sommes allées à sa rencontre, place de la République, lors d'un après-midi d'examens réservé aux femmes du Centre d’Hébergement d’Urgence Chrysalide. Reportage.
Comment vit-on l'annonce d'un cancer du sein, les traitements, les transformations physiques, lorsque celle avec qui l'on vit doit lutter dans sa chair pour guérir ? Témoins et spécialistes nous éclairent sur le délicat mais décisif rôle de l'accompagnant.e.
Depuis 1994, le groupe Estée Lauder France et Marie Claire se mobilisent et s’engagent ensemble dans la lutte contre le cancer du sein, en créant l'association « Le Cancer du Sein, Parlons-en ! » puis devenue Ruban Rose en 2020. Pour soutenir cette cause, de nombreux partenaires nous accompagnent. À l'occasion d'Octobre Rose, nous vous les présentons.
Dans Guérie par ton amour (éd. Leduc), Alice Detollenaere livre son expérience du cancer du sein et fait part du soutien, crucial, qu'elle a reçu de son compagnon, l'ancien champion de natation Camille Lacourt. Ensemble, ils reviennent pour nous sur son rôle d'accompagnant durant la maladie.
Si à la rémission d'un cancer du sein, la vie reprend son cours, l'ombre d'une rechute plane toujours au-dessus des malades. Peur à la moindre douleur, examens récurrents, traitements parfois invalidants... Trois femmes nous racontent comment elles composent avec cette menace permanente.
Quand on pense au cancer du sein, on imagine souvent des dames ayant passé 50 ans. Or nombre de tumeurs mammaires sont décelées chez les moins de 30 ans. Le diagnostic tombe tel un couperet chez ces jeunes femmes en pleine construction de leur personnalité et qui fourmillent de projets d’avenir.
Elles ont été frappées par la même maladie, au même endroit : un cancer, au sein gauche. Jacqueline d'abord puis Catherine. Mère et fille nous racontent cette épreuve traversée à deux, jusqu'à la guérison.
Une femme sur huit est touchée par un cancer du sein. Une épreuve physique, mentale et sociale qui redessine souvent l’histoire de chacune. Trois d’entre elles, qui ont renversé leur destin, racontent le cheminement vers leur nouvelle liberté.
L'association Fake Hair Don't Care récupère des mèches de cheveux pour en faire des perruques destinées aux personnes atteintes d'un cancer. Comment faire don de mes cheveux ? Voici le protocole à suivre.
Face à la maladie, de plus en plus de patientes éprouvent le besoin d'exprimer leur ressenti sur Instagram ou dans une association. Quatre femmes nous racontent comment prendre la parole les a aidées à avancer sur le chemin de la guérison.
Une femme sur huit est touchée par un cancer du sein. Chacune se saisit avec son histoire de l'annonce du diagnostic. Effondrement, vide, ressources et projections : trois femmes nous racontent ce jour brutal et noir.
Depuis l'âge de 20 ans, Paola Ghanem se bat contre un cancer du sein qui s'est propagé au reste de son corps. Une "double peine" qui l'a poussée à vivre sa vie autrement et même à la prendre du bon côté. Tant qu'il en est encore temps. Témoignage.
Dans un livre-journal, Géraldine Dormoy raconte le cancer du sein "pas si grave" qu'elle a vécu en 2017. De l’annonce aux traitements en passant par le regard qu’elle porte sur elle-même durant cette période, la journaliste et auteure du blog Café Mode se dévoile, sans filtres.
La première édition du trek Rose Trip, une randonnée 100 % féminine, débute le 31 octobre au Maroc. Chaque soir sur la story Instagram de Marie Claire, une participante dévoilera les coulisses de la course.
Neuf cancers du sein sur dix sont guéris s'ils sont traités tôt. Mais le corps et la psyché paient d'un lourd tribut cette force de frappe. D'où l'importance d'un soutien psychologique adapté.
Témoignage de Julie Meunier, auteure du blog Féminity & Jy et créatrice de la marque de franges et turbans "Les Franjynes" destinée aux femmes atteintes d'un cancer.
Un cancer du sein change l'apparence des malades et la perception qu'elles ont d'elles-mêmes. Pour les aider à apprivoiser leur nouvelle image et à se réapproprier leur corps, des solutions comme les ateliers beauté, le tatouage pour camoufler la cicatrice d'une mastectomie ou des marques de cosmétiques comme MÊME voient le jour.
Chaque année, près de 20 000 femmes touchées par le cancer du sein subissent une mastectomie. Une intervention chirurgicale qui soulève de nombreuses questions de la part des patientes.