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Bien-être au travail
Plus que jamais, le bonheur et le bien-être ont trouvé leur place en entreprise. Parce qu’un salarié heureux et épanoui sera un salarié fidèle et surtout plus productif dans son travail, le bien-être est devenu au fil du temps l’une des composantes primordiales de la vie professionnelle. Activités, récompenses, ergonomie de l’espace, autonomie des employés : autant de critères aujourd’hui pris en compte dans la notation des entreprises. Une attitude positive qui a des conséquences directes sur les résultats de l’entreprise.
Une impression de faiblesse parfois doublée de douleurs qui doit être interprétée comme un signal d'alarme de votre corps.
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Bien-être, santé, sexualité... votre rendez-vous pour rester en forme.
Dossiers Bien-être au travail
"Je perds du temps sur ma vie personnelle".
"Tout va dépendre de la représentation qu’on a de la performance, de la réussite, du succès. Chez certains, c'est être toujours occupé. Alors si je fais mine d’être surbooké, cela veut dire que je suis une personne de qualité. C'est très culturel et propre à la France", reprend le psychologue du travail.
Si le stress, l'anxiété ou la dépression sont aujourd'hui plus "acceptés" au travail, une fois la frontière du bien-être dépassée, la plupart des maladies psy sont balayées sous le tapis.
C’est une sensation physique désagréable qui intervient dans des moments de stress, et qui, si elle apparaît trop régulièrement, voire en permanence, peut souligner un mal-être au travail. Anne, Elsa et Camille* ont, toutes les trois, eu une sensation de boule au ventre. Les causes sont souvent profondes et les conséquences durables.
En partenariat avec Great Place To Work
Depuis plus de 20 ans, SNCF Connect & Tech s'impose comme un acteur incontournable du numérique en France, tout en s’engageant résolument pour une société plus durable et inclusive. Cet engagement se traduit par une politique de mixité ambitieuse, visant à garantir l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes à chaque étape du parcours de ses collaborateurs : de l’intégration à la progression de carrière, en passant par la rémunération et la qualité de vie au travail.
En partenariat avec Great Place To Work
Filiale du groupe américain Merck & Co, le laboratoire pharmaceutique MSD France se distingue tant par les traitements et vaccins innovants qu’il développe pour les patients que par ses avancées en matière d’égalité professionnelle. Aurélie Andrieux-Bonneau, Directrice politiques de santé, affaires publiques et communication chez MSD France, nous dévoile les coulisses de ce lieu de travail où il fait bon inventer ensemble…
En partenariat avec Great Place To Work
Un parcours inspirant au service de l’ambition féminine : Rencontre avec la Directrice Générale d’American Express France, Caroline Gaye
En partenariat avec Great Place To Work
En 2024, plus d’un tiers des Français estime encore que les collaborateurs ne sont pas traités équitablement selon leur genre en entreprise *. Dans ce contexte, Great Place To Work®, référence mondiale de la qualité de vie au travail et de l’évaluation de l’expérience collaborateur, sort son top 30 des sociétés les plus avancées sur le chemin de l’égalité professionnelle. Explications.
“Il y a plein d’émotions qui arrivent à ce moment-là, de la tristesse, de la colère, on peut aussi passer par la déprime. Des émotions fortes et difficiles à dissimuler au travail. Même si on nous dit de séparer vie professionnelle et privée, quand on arrive au bureau, on arrive comme on est, avec nos histoire personnelles”, reprend la psychologue.
En télétravail, certains objets anodins peuvent en réalité changer votre expérience et booster votre confort.
Et si en cas de rupture, de dispute difficile avec un proche ou de journée où l’anxiété nous empoisonne, l'employeur nous offrait un congé dédié... au mal-être ?
"Le principe est que pour éviter un plan de licenciement coûteux, l’entreprise préfère garder dans ses effectifs des salariés mais en les affectant à un autre poste moins confortable donc souvent mon rémunéré et ce dans l'espoir qu’ils démissionnent", commence l'avocate Tiphaine Vibert.
"Ces personnes peuvent se mettre en difficulté en s'infligeant une surcharge de travail. Mais elles peuvent aussi infliger cette surcharge aux collègues : sans le vouloir, elles incluent toute l'équipe dans la décision de dire oui", explique la psychologue Mélissa Pangny.
"On considère que nos émotions font partie de notre côté bestial, animal, qu'elles nous dépassent. Les émotions sont très genrées, elles sont notre partie féminine, dans un monde encore très machiste. Puis elles sont ce qui est de l’ordre de l'imprévu", commence Donald Glowinski, professeur et directeur du programme des compétences émotionnelles à l'Université de Genève.
Malgré les récents dispositifs de prévention et d'accompagnement prévus par la loi, les pathologies liées à la condition psychique restent très stigmatisantes dans le milieu professionnel. Alors, faut-il se taire ou en parler ? Et comment ? Éléments de réponse.
"Les limites ont un rôle essentiel de garde-fou de la santé mentale, en entreprise comme dans la vie personnelle. Sans limite, on peut tout nous demander et on se met soi même en danger", explique la psychologue du travail Mélissa Pangny.
“C’est un syndrome qui peut arriver quand on est exposé sans cesse à des gens qui ne vont pas bien, qui parlent de leurs douleurs, leur détresse, leur souffrance”, explique la chercheuse Pascale Brillon.
"Parfois, je mets de la musique classique très fort dans les oreilles, c’est la seule qui ne me déconcentre pas. Mais ça a des effets sur mon audition aussi. Je remarque également que je suis beaucoup plus efficace en télétravail. C’est salvateur d’avoir ce souffle chez soi, mais je suis dans une entreprise qui n’aime pas le télétravail. Je sors de 6 semaines exclusivement sur site et j’ai déclenché un bouton de fièvre, synonyme de stress et d’épuisement".
"C'est un facteur qui, à la longue, peut contribuer au burn out. Une fatigue en plus, de l’agacement, du stress… Forcément, ce temps perdu rallonge nos journées".
"Il faut questionner les procédures internes, l'organisation. Engager ce qui est juste une description de la réalité. Dire 'ces tâches je n'en comprends pas le sens, ce n'est pas valorisant'. C'est le bon moment de se questionner de manière collective et pas nécessairement individuelle", détaille le psychologue.
"On se résume beaucoup à la question de notre poste. C'est le premier élément évoqué dans le carde des conversations. On nous demande ce qu'on fait", reprend Sébastien Hof.
Dina Denham Smith, coach professionnelle, donne ses conseils à la "Harvard Business Review".
Dans une société à mille à l'heure, où nous passons presque toute notre vie à travailler, le soir, "lorsque nous rentrons à la maison, nous nous sentons en sécurité pour libérer nos vraies émotions", explique la thérapeute Nicholette Leanza au 'HuffPost UK'.
Entretien avec Lucile Quillet, autrice de "Être badass au travail", pour en finir enfin avec le syndrome de l'imposteur.
D'après Linda Stone, "la rétention de la respiration contribue de manière significative aux maladies liées au stress. Le corps devient acide, les reins commencent à réabsorber le sodium, et comme l’équilibre de l’oxygène (O2), du dioxyde de carbone (CO2) et de l’oxyde nitrique (NO) est miné, notre biochimie est perturbée".
Comment retrouver de l’assurance pour mieux vivre sa carrière ? Une psychologue du travail nous répond.
Reportage en Espagne, chez Good Rebels.
Des métiers essentiellement pratiqués par des hommes. Mais pourquoi, à l’inverse, les pénibilités associées aux métiers féminisés restent-elles un impensé ?
Témoignages de femmes qui bénéficient d'un congé menstruel dans leur entreprise.
Y-a-t-il des entreprises idéales en France, quand on souhaite privilégier le bien-être et l'égalité au travail en tant que femme ? Oui ! Assure Great Place To Work qui vient - Pour la quatrième année consécutive - de dévoiler son palmarès best workplaces for women.
Une psychologue du travail et coach professionnel nous éclaire sur cette tactique répandue dans le milieu professionnel.
Les liens amicaux tissés au travail deviennent parfois une menace pour le bien-être mental. Comment faire face à un ami toxique que l'on croise chaque jour au travail ?
Des experts en carrière et chercheurs ont délimité les caractéristiques qui permettent de stimuler notre satisfaction au travail.
Repérer un environnement toxique au travail peut parfois être difficile tant les signaux précurseurs sont insidieux. Mauvaise communication, consignes floues, manque de cohésion dans les équipes... Des expertes livrent les signaux à observer pour prévenir des risques sur notre santé mentale.
“Pensez à chaque heure comme à un carreau qui, une fois assemblé, forme la belle mosaïque colorée de votre vie. C'est votre temps. C'est vous qui choisissez et placez les carreaux. Vous décidez de la meilleure façon de les ordonner au cours de la semaine", explique l'experte.
"L'usure est bien plus profonde que l'ennui. C'est lorsque les gens n'ont pas l'impression de faire quelque chose d'utile ou d'être reconnus. Ils se sentent souvent bloqués, comme s'ils n'avaient nulle part où progresser", explique l'experte à Stylist.
"On peut agir sur la scène et interpeller l'auteur sur ces maltraitances. Cela permettra de changer l’issue, notamment en termes de conséquences sur la victime”, explique le psychologue Sébastien Hof.
Elles sont consultante, ingénieure, cheffe ou blogueuse déco et, grâce au télétravail, ont choisi de prendre la route et de ne pas se sédentariser. Une manière de vivre dans le mouvement, plus légèrement aussi, et un phénomène plus si marginal que ça. Décryptage.
"Il ne faut pas oublier que l’inclusion mène à l’égalité", souligne Marie-Clémence Bordet-Nicaise.
Ignorés par l’administration, peu considérés par les médecins, les patients atteints de symptômes graves et persistants du Covid-19 peinent à voir leur état de santé reconnu, au prix d’une vie professionnelle bouleversée et d’une précarité exacerbée.
Parce qu’elle refuse de faire de leur emploi une fin en soi, Aurore, 43 ans a décidé d'ajuster sa vie active à des considérations moins capitalistes qu’hédonistes, privilégiant son bien-être et son épanouissement personnel au détriment d’une routine carriériste.
Cette tendance nous aide donc à remettre l’emploi à sa place dans la liste de nos priorités.
“Le racisme en entreprise, c’est encore très courant de nos jours. Seulement, ce type de discrimination va être l’un des plus difficiles à décrypter”
"La culpabilité est quasi systématique", confirme Mélissa Pangny, psychologue du travail.
"Les managers doivent connaître les symptômes d'alerte pour ré-orienter vers un professionnel de santé", martèle Mélissa Pangny, psychologue.
S’étirer - au bureau ou en rentrant chez nous - peut nous aider à nous débarrasser de “ces sensations désagréables qui résultent d’un corps qui réclame un mouvement et d’une journée sans activité” explique la présidente du Conseil départemental de l'Ordre des masseur kinésithérapeutes de Pari
"Beaucoup n'ont pas encore acquis l’idée que certaines angoisses puissent nous fragiliser ou nous mettre en danger. Donc prendre un jour off pour ça, ça paraît impossible".
“Le flex office, c’est la fin de la sédentarité. On vient pour prendre la place qui reste”.
La “démission silencieuse" ou "quiet quitting" : derrière ce phénomène se cache un raz-le-bol d’une classe salariale désabusée, soucieuse de prioriser enfin sa santé mentale et sa vie privée.
56% des salariés estiment que l’organisation des entreprises est insuffisamment adaptée au télétravail.
Envie de prendre une petite pause au bureau sans culpabiliser ? Voici toutes les raisons que vous ferez en prendre davantage.
Le syndrome de l'imposteur n'est pas tout noir ou tout blanc, voici pourquoi.
Pour prévenir des problèmes de dos et des méfaits de la sédentarité, le swiss ball comme assise peut être une bonne option. On vous dit tout sur ce ballon de gym qui fait fureur dans nos entreprises.
Et si on ne travaillait que quatre jours sur sept ? Une révolution qui permet d’équilibrer vie pro et vie perso tout en améliorant la productivité.
Trouver le juste milieu entre métier passion et bore-out serait la solution.
À partir du lundi 14 mars 2022, le port du masque ne sera plus obligatoire en entreprise.
Opportunisme ou changement de paradigme ? On fait le point.
Et si le célèbre “métro, boulot, dodo” s'était discrètement transformé en “boulot, boulot, boulot” ? Expertes et salariées témoignent.
Depuis que le télétravail généralisé a pris fin, les entreprises optent souvent pour des modèles hybrides mêlant jours de présentiel et travail à distance. Mais comment choisir au mieux ses jours de télétravail pour une organisation optimale ?
Lubie artificielle pour certains, salut de l’entreprise pour d’autres, la bienveillance en milieu professionnel vient catapulter les convictions managériales au nom du bien-être salarial. Confessions de celles et ceux qui ont décidé d'en faire un principe.
Vannés par l’isolement du télétravail à plein temps sur une longue durée, de nombreux de salariés se réjouissaient de pouvoir retrouver quelques jours de présentiel avec le déconfinement. Jusqu'à ce que les plans de retour sur site dévoilés par leurs entreprises les fassent déchanter.
La pandémie et la crise économique qui en découle ont accentué les failles d'un monde professionnel obsédé par la rentabilité. Dans son ouvrage "Le Monde du travail est devenu fou", Marielle Dumortier, médecin du travail depuis trente-cinq ans, tire la sonnette d'alarme.
Ils vivent dans une ville et exercent leur métier dans une autre, où ils possèdent un second chez-eux. Et si ces nomades d'un nouveau genre avaient un train d'avance ? Enquête.
Télétravailler sans négliger sa posture, c'est un défi que doivent aujourd'hui relever de nombreux salariés confinés.
Quelques pistes pour déconnecter.
Bureau climatisé et cantine désertique, voilà où certain.es passent leur été. Mais le mois d’août en entreprise n’a pas pour seule caractéristique d’être affligeant. Bien au contraire.
Vous reprendriez bien un peu d'emails pro pendant les vacances ? Déconnecter réellement du travail durant les congés, croyez-moi, c'est toute une entreprise.
Certains veulent tenter leur chance ailleurs, d’autres simplement en finir avec un quotidien professionnel trop pesant : mais quelles sont les raisons qui poussent les salariés à démissionner ?
Dans un monde du travail où la performance est la règle, vous pourriez développer le « complexe de l'imposteur », avec un satané sentiment qui vous taraude : « Je suis incompétente ! ». Voici quelques pistes pour y faire face.
La crise du COVID a laissé des traces sur le moral des salariés pour qui le retour au travail peut se muer en une nouvelle source d’angoisse. Céline Dagrenat, médecin du travail, nous aide à reconnaître un employé en détresse et nous donne les pistes pour lui venir en aide.
Avant de partir se la couler douce et profiter du farniente, et si on se posait quelques heures pour réaliser un bilan de l’année écoulée ? Un temps nécessaire pour se vider le crâne afin de décompresser à 100%.
Perte de confiance, honte, désengagement, isolement, dépression : on fait le point sur cette souffrance professionnelle méconnue.
Dans l’imaginaire collectif, les émotions devraient rester à la porte d’entrée du bureau. Pourtant, les écouter, les exprimer et les partager permettrait une meilleure qualité de vie professionnelle.
À quoi va ressembler le monde de l'entreprise après la pandémie ? La philosophe et essayiste Julia de Funès nous répond.
Avez-vous l’impression de travailler pour rien ? De n’avoir aucun but professionnel ? Vous faites probablement partie de ceux qui occupent un « bullshit job ».
S'investir excessivement dans son travail n'est pas sans danger. Oubli de si, épuisement émotionnel et physique...
L’air de rien, garder la pêche pour aller chaque jour au boulot s’entretient. Le docteur en psychologie du travail Zwi Segal nous explique comment faire pour rester motivée dans son job et s’épanouir au bureau.
Comment gérer le sentiment de culpabilité des premiers mois et cette sensation d’être prise en étau entre deux obligations ?
Entre modernisme et économie d’espace, l’open space s’est généralisé dans les entreprises depuis les années 2000. Souvent source de solidarité dans les équipes, il peut aussi être générateur de tensions et stress.
Suivez le guide pour vous aider à trouver du sens à votre travail, et ainsi vous permettre de vous épanouir.
Parmi les causes d’épuisement professionnel, l’indécision des managers pourrait jouer un rôle important. Décryptage de la méthode test, mais pas vraiment learn.
Être accro au travail, au point de délaisser tout le reste ? L’addiction au travail peut avoir des effets dévastateurs.
L’âge du "non" s’est arrêté il y a bien longtemps. En entreprise plus qu’ailleurs, ses trois lettres entraînent bien des dégâts. Entre code du travail et échanges constructifs, refuser une tâche au boulot est un sport de haut niveau.
Avoir trois vies professionnelles... Et si on changeait notre rapport au travail, avec des activités et une organisation qui nous ressemblent enfin ?
C’est le thème de notre 6e Grand Forum, le 25 novembre à Paris au Conservatoire national des arts et métiers.
C’est le thème de notre 6e Grand Forum, le 25 novembre à Paris au Conservatoire national des arts et métiers.
1472 : c'est le nombre moyen d'heures travaillées en France par an, selon l'OCDE. 1472 heures à cultiver son bonheur ? Le doute est palpable. Enquête sur le nouvel essor du "bonheur au travail".
Le bonheur au travail, c'est possible. Encore faut-il savoir ce qui rend vraiment un salarié "heureux" et pourquoi.
Vous passez plus de trois heures par jour, assise à votre bureau ? Voici trois mouvements pour vous détendre et rester en forme !
Le succès n'est jamais vraiment mérité. La performance n'est jamais réellement bonne. Le nombre d'heures sur ce dossier n'est jamais suffisant.
Prendre des vacances est finalement tout un art. Celui de décrocher du travail. Un constat d’autant plus vrai pour les travailleurs indépendants. Enquête.
Depuis quelques années déjà, la tendance du sport au travail fait des émules dans les entreprises françaises. Décryptage d’un phénomène aux multiples bienfaits : tant pour les salariés que pour leurs employeurs.
À l’occasion de la 16 ème édition de la Semaine pour la qualité de vie au travail, organisée du 17 au 21 juin 2019, on revient sur les trucs et astuces à mettre en application pour faire rimer travail et bien-être.
Lorsqu'on pense pénibilité, on songe souvent, et à raison, aux salariés du bâtiments ou aux ouvriers. Mais quid des femmes de ménage, des auxiliaires de vie ou des caissières de supermarché qui charrient plusieurs tonnes de produits chaque jour ? Dans l'angle mort, comme trop souvent.
Le boulot, on y quasiment la majorité de sa semaine. Et si, pour s'y sentir mieux, on accordait plus d'importance à notre poste de travail ? Possibilité de se déplacer, disposition des locaux, espaces intimes, tous ces paramètres peuvent réellement améliorer notre satisfaction au quotidien.
Compassion, bienveillance, empathie, toutes ces qualités émotionnelles peuvent être définies comme des « soft skills ». Au bureau, des telles compétences peuvent réellement changer l’atmosphère, rendant le travail plus ludique et les relations aux autres plus chaleureuses.
Alors que le stress ronge de plus en plus de salariés français, certaines entreprises ont décidé de développer la méditation sur le lieu de travail. Mais en quoi la pleine conscience peut-être être bénéfique au bureau ?
C’est une question qui intrigue autant qu’elle divise : où placer le travail pour trouver le bon équilibre entre sa vie personnelle et sa carrière, et enfin être heureux ?
Insuffler du bonheur au travail et améliorer la qualité de vie des employés ? Cela est possible avec l'happiness manager. Un métier aujourd'hui mal compris, qui mérite d'être pris au sérieux. Témoignage.
Temps de travail insuffisant, besoin de calme, envie de voir ses enfants... Il existe de multiples raisons qui poussent certaines personnes à ramener du travail chez eux. Au-delà de l'aspect pratique, c'est un déséquilibre pour l'individu et ses proches.
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Les meilleurs étirements à faire à son bureau pour éviter de rouiller pendant sa journée de travailJe culpabilise de me mettre en arrêt maladieBurn out : les signes avant-coureurs qui doivent alerterComment remonter la pente après un burn-out ?Perte de motivation, accumulation de stress : ne seriez-vous pas en "burn in" ?"Physiquement, je ressentais un blocage" : la boule au ventre, un symptôme du mal-être des salariés souvent ignoré