Depuis qu’elle réside à l’Élysée, Brigitte Macron affiche ses goûts en matière vestimentaire. Son credo ? Privilégier les labels français.

Parmi ses préférés figure la maison Louis Vuitton, dont le directeur artistique, Nicolas Ghesquière, est l'un de ses proches.

Balmain, Barbara Bui, Jitrois ou encore Chanel se sont également attirés les faveurs de l’ancienne professeure de français. Des griffes prestigieuses qui signent ses robes droites, ses escarpins vertigineux et ses blazers épaulés.

Des goûts éclectiques

Ce qui n’empêche pas Brigitte Macron de se tourner vers des marques plus accessibles. Elle affectionne tout particulièrement Imaï, qui crée des bijoux de haute fantaisie et No Name, une marque de chaussures qu’elle porte depuis près de 20 ans.

Ici, ni talons aiguilles ni bouts pointus. La spécialité de cette entreprise lancée en 1991, c’est la basket. Et les modèles de prédilection de la première dame s’appellent Flex Jogger et Parko.

Leurs points communs : ils affichent des lignes sobres et une semelle légèrement compensée. Les sneakers idéales pour une journée de visite au Mont Palatin à Rome, une sortie à la plage au Touquet ou une session de marche nordique en marge du G7, à Krün.

Le 26 août 2024, c’est en balade avec son chien, dans les jardins de l’Élysée, que Brigitte Macron a été aperçue avec ses baskets fétiches.

Un destin français

Si No Name a réussi à séduire la première dame, c’est parce que ses fondateur-rice-s sont des spécialistes de la cordonnerie. Initiée par la famille Rautureau, la griffe a pour grande sœur Free Lance, célèbre pour ses bottines et ses santiags.

Les racines des deux marques remontent à 1870, année au cours de laquelle Jean-Baptiste Rautureau fonde son atelier de souliers en Vendée. Près de 150 ans plus tard, les héritier-ère-s du groupe Rautureau Apple Shoes cèdent la société familiale à l’entrepreneur français Xavier Marie.

Depuis, No Name ne cesse d’innover. Utilisations de matières éco-responsables et recyclées, lancement d'une ligne de chaussures de ville et même, en 2024, une première collection de modèles masculins... Bientôt aux pieds d’Emmanuel Macron ?